







Berlin 21 Avril 1945
Dès 8h du matin le Centre de commandement du général Reymann fut littéralement pris d'assaut par un flot ininterrompus de Hauts fonctionnaires du Reich venant demander l'autorisation de quitter la ville sous prétexte de missions de toute nature , 2.350 autorisations furent accorder , les militaires savaient très bien que aucuns d'eux n'avaient de missions importantes sauf celle de mettre les voiles et fuir l'enfer de Berlin au 3/4 encerclé , mais surtout la terrible peur de se retrouver aux mains des Soviétiques , les nouvelles des exactions que commirent ses derniers depuis la Pologne avaient envahis les civils Allemands et tous fonctionnaires du partis ou soldats de la Wehrmacht du sentiment que les Russes étaient venus pour anéantir le peuple germanique tout entier, l'approche des chars Soviétiques dans les zones menacés provoquait un exode massif de la population mais aussi des fonctionnaires du Reich fort en gueule derrière leurs bureaux mais trop lâches pour monter au front .
Situation sur le Front de l'Oder Samedi 21 Avril 1945.
En se Samedi 21 Avril l'on peut considérer que le Front de l'Oder avait cessé d'exister et avec lui l'ensemble du Front de l'embouchure de l'Oder à la Neisse , le 20 Avril Rokossovski et le 2e Front Biélorusse était passer à l'offensive et avait pulvériser les défenses du G.A. de la Vistule la 3e Pz Armee était en pleine déroute , les Soviétique fonçaient à toute vitesse dans le Nord de l'Allemagne à la rencontre des Armées Alliés notamment le 21e G.A du Maréchal Sir Bernard Montgomery qui venait de franchir l'Elbe .
Face à Berlin la 9e Armée du général Busse qui avait reçu le choc Soviétique de front était totalement disloquée, le 101e Armee Korps formant l'aile gauche de la 9e A avait été rejeter dans le secteur de Bernau, le Régiment Grossdeutschland se trouvai lui dans le secteur de Blumberg sur les 1.300 hommes qui le composait présent sur l'Oder le 16 Avril il n'en restait plus que 40 !
Le 56e Panzer Korps du général Weidling formant le centre de la 9e A se repliait au-delà de l'Autoroute périphérique sur les Faubourgs Sud - Est de Berlin.
Mais tout déplacements était rendu extrêmement compliqué vu la masse de réfugiés encombrants les routes dans leurs totalité menant vers la capitale, un chaos indescriptible régnait partout, les unités de la Feldgendarmerie présente à chaque village et carrefours ramassait les traînards et isolés de la Wehrmacht les remettait à des officiers qui organisaient des Kampfgruppe et repartait au front, Fuyards et déserteurs étaient irrémédiablement fusiller ou pendus sur place pour lâcheté devant l'ennemi, afin d'augmenter le chaos et la confusion les chasseurs bombardier Soviétiques IL-2 effectuaient de nombreux passages bombardant et mitraillant les colonnes mixtes convergents sur la capitale, partout sur les abords des routes et les fossés gisait des milliers de cadavres de civils de militaires et d'animaux .
Face à la 9e A allemande, la 8e Armée de la Garde et la 5e Armée de Choc étaient déployées il ne leur restait plus qu'à lancer une puissante attaque afin d'en finir avec celle-ci, mais suite au très gros retard pris suite à la bataille de Seelöw, Joukov ordonna à celles-ci de se porter plus au Sud l'objectif était la Spree , Joukov qui voulait une parfaite coopération entre ses unités de premières lignes se qui augmentait le gains de temps considérablement ordonna au général Tchouikov 8e A de la Garde et Katoukov 1er A.B. de la Garde de travailler en étroite liaison, ceux-ci devait en effet pénétrer dans Berlin par le Sud - Ouest et ainsi prendre Koniev de court, ce dernier arrivait en vue de Zossen .
Dès 19h se soir du 21 Avril les unités de chocs des 8e A de la Garde et 1er A.B. de la Garde s'emparent des faubourgs d'Erkner situé au Sud de Rüdersdorf.
Plus au Nord Joukov soucieux de réaliser l'encerclement de Berlin au plus vite y transfère la 47e A avec comme objectif Spandau et la 2e A.B. de la Garde avec comme objectif Oranienbourg.
Au Kremlin Staline n'est pas du tout satisfait de la progression de Joukov celui-ci devait déjà avoir atteint la ville même pour le 20 Avril dès 21h, or, nous somme le 21 Avril à 21h et les troupes du 1er Front Biélorusse ne sont seulement qu'au premiers faubourgs de la ville, soit un retard de 24h.
Furieux Staline télégraphia un message personnel au camarade Joukov :
**** En raison de l'extrême lenteur de votre avance les Américains sont signalé à 50 km de Berlin ils vont donc bientôt s'en emparés, j'exige un rétablissement immédiat de la situation pour au plus tard demain matin 6h, vous devrez être entré dans la ville même ****
Immédiatement Joukov envoya un ordre général :
**** A tous les commandants des 1er A.B. de la Garde, 2e A.B. de la Garde, 8e A de la Garde, 3e A de Choc, 5e A de Choc et à la 47e Armée, j'attends de votre part une extrême rigueur dans l'accomplissement de votre devoir envers la mère patrie et au camarade et généralissime Staline et vous ordonne d'effectuer une attaque générale immédiate avec comme objectif Berlin les Chars ouvriront la marche ****
Mais Joukov man½uvre comme dans les vaste plaines d'Ukraine et de Biélorussie, or nous somme dans une des plus grande ville d'Europe ou les blindés on un mal fou à man½uvrer et font de merveilleuse cibles pour les défenseurs cacher dans les caves et les immeubles armés du redoutable Panzerfaust qui sera l'arme d'excellence pour la défense de la ville et causera un hécatombe parmi les blindés Soviétiques .
Dans la villes les Allemands possédaient encore 215 chars et canons d'assaut le manque de carburant ne leurs permettait plus de grands engagement ni des attaques d'envergure ils était utiliser comme unités de chocs et intervenait aux points les plus menacés ou la situation était désespérée , ou comme chasseur embusquer ou il était facile de les camoufler, leur intervention causa d'effroyable pertes dans les rangs Soviétiques ainsi qu'aux blindés, la majorité des chars Allemands présents dans les rues de Berlin étaient de type dernier modèle.
Voici la liste :
- Panzer IV - Canon de 75mm KwK 40 L/48 ( 87 Obus )
- Panzer V Panther - Canon long de 75mm KwK 42 L/70 ( 82 Obus )
- Panzer VI Tiger - Canon de 88mm KwK 36 L/56 ( 92 Obus )
- Panzer VI Königstiger - Canon long de 88 mm KwK 43 L/71 (86 obus)
- Jagdpanzer 38(t) Hetzer - Canon Pak de 75 mm PaK 39 L/48 (41 obus)
- Jagdpanzer V Jagdpanther - Canon de 88 mm Pak 43/3 L/71 (57 obus)
- Jagdpanzer VI Jagdtiger - Canon 128mm Pak 44 L/55 (40 obus)
- Jagdpanzer Elefant - Canon StuK 43 L/71 de 88mm (50 à 55 obus)
L'attaque des Soviétiques se déroula donc en plein milieux de la nuit les chars prennent la tête de l'attaque suivit de l'infanterie, l'artillerie pilonna tout le secteur de l'attaque durant 30 minutes dès les 500 premiers mettre les chars progressèrent bien, mais à partir du moment ou ils furent engagés dans les dédales des rue des faubourgs se fut l'hécatombe du Nord - Est au Sud - Est, le 5e Corps Mécaniser de la Garde de la 1er A.B. de la Garde se trouve engager dans les faubourgs de Rahnsdorf ou l'ennemi résiste âprement un groupe de 10 chars JS-2 s'avance dans une rue afin d'attaquer un groupe d'immeubles d'où l'ennemi oppose une puissante résistance, soudain une formidable détonation retentis le char de queue vient de sauter atteint de plein fouet , sitôt après c'est au tour du char de tête d'exploser atteint lui aussi de plein fouet, les Allemands ont attendu que la colonne Soviétique soit totalement engagée dans la rue pour lui tendre un piège mortel tirant des soupiraux des caves et des fenêtre des immeubles et maisons au Panzerfaust et Panzershreck sur les blindés Soviétiques, incapable de man½uvrer vers l'avant ni de faire demi tour les 8 chars restant sont la proie des flammes leur équipage perdu pour toujours, tout s'est jouer en moins de 5 minutes, quant à l'infanterie qui tentera l'attaque en masse subira de très lourdes pertes .... Rahnsdorf restera Allemand pour cette journée du 21 .
Il faut attendre minuit pour que les unités d'assaut des 3e et 5e Armées de Choc ne s'emparent des faubourgs Nord - Est de Berlin , Malchow et Hohenschönhausen, Berlin n'est pas atteint pire encore les avant garde de la 1er A.B. de la Garde en sortant de Gosen-Neu-Zittau son tomber sur un Kampfgruppen Blindé ennemi composé de Jagdtiger de Königstiger et Jagdpanther escorter par deux compagnie de Panzergrenadier SS ( unités mixte provenant de la div SS 30 Januar et de la Nordland charger de bloquer l'avance Russe sur la Spree ) l'engagement fut extrêmement douloureux pour les chars Soviétiques qui laissèrent 98 carcasses fumante sur la Nationale L30 ainsi que 18.500 hommes.
Il est clair que jamais les Soviétiques ne seront dans Berlin pour le Dimanche 22 Avril seul les faubourgs extérieur sont atteint , les combats pour les faubourgs intérieurs piétines l'ennemi s'accroche à la moindre ruines à chaque maisons et immeubles causant de lourdes perte à l'infanterie et aux blindés Soviétiques.
Au soir du 21 Avril les Soviétiques ont faiblement progresser.
La 8e A de la Garde a atteint les faubourgs d'Erkner ses avant garde combattent pour les faubourgs de Rahnsdorf, la tentative d'attaque avec des unités de la 1er A.B. de la Garde sur Gosen-Neu-Zittau à été un échec sanglant, L'attaque sur Woltersdorf progresse lentement l'ennemi y à enterrer ses 88mm dans chaque rues .
La 1er A.B. de la Garde progresse lentement sur la Reichstrasse 1 et combat pour la partie Est du faubourg de Hoppegarten, l'ennemi se défend âprement les pertes sont sérieuses .
A la droite de la 1er A.B. de la Garde combat la 5e A de Choc engagé dans les faubourgs de Neuenhagen au Sud et de Ahrensfelde au Nord là aussi la progression est extrêmement compliqué tel les Allemands s'accrochent au moindre mètre de terrain causant des pertes sensible dans les rangs Soviétiques .
Partant de Bernau la 3e A de Choc attaque elle entre le faubourg de Panketal et celui de Buch
La 2e A.B. de la Garde attaque entre les faubourgs de Hohen Neuendorf, Mühlenbecker Land et Mönchmühle mais ne peut progresser tel la résistance ennemie est opiniâtre .
Quant à la 47e Armée elle marche sur Oranienburg à 15 km ou elle est fréquemment attaquer par des commandos antichar provenant des Jeunesses Hitlériennes qui leurs causent de sérieuses pertes se qui ralenti fortement la progression des Blindés.
Staline exige l'impossible atteindre Berlin en 9h alors que les Armées Soviétiques se trouve encore à 30 km de la ville même, pour une armée l'investissement d'une ville comme Berlin requière du temps de la sueur et beaucoup de sang, l'idée d'y amener 6.200 chars et canons automoteur et de les employer en attaque directe en pleine ville se révèlera couteux pour les Soviétiques qui comprirent l'inutilité des chars si ceux-ci n'était pas appuyer par des commandos et unités d'assauts expertes dans les combats urbains , les chars seul ou non accompagné était détruits dans les minutes qui suivaient .
Mais tout autant que Staline, Joukov afin de rentrer dans les bonne grâce du père de toutes les Russies, exigeait lui aussi l'impossible et se souciait peut des pertes aux combats de ses armées et restait inflexibles aux plaintes de ses généraux .
Le matin du 22 Avril les Soviétiques avait progresser de 8 à 12 km du Nord - Est au Sud - Est l'objectif était loin d'être atteint, 235 Chars et 41.600 hommes étaient rester dans les décombres des faubourgs de Berlin pour le prestige d'un Maréchal craignant les foudres de sont maître avide de s'emparer de Berlin à n'importe quel prix car jamais le sacrifice ne sera trop grand pour vaincre ses chiens nazis.
Situation au 1er Front Ukrainien du Maréchal Koniev Samedi 21 avril 1945.
Du côté du 1er Front Ukrainien là progression se déroule parfaitement bien :
- Les 3e A.B. de la Garde et 28e Armée se sont emparés de Gotssen et marche sur Baruth à 10 km de Zossen , soit à 30 km de Berlin, l'objectif est les faubourgs de Potsdam et Teltow .
- La 4e A.B. de la Garde avait elle atteint l'autoroute Berlin - Halle, c'était emparé de Jüterborg et Luckenwalde et continuait sa progression en direction des faubourgs Ouest de Potsdam et des faubourgs Nord de Ketzin à la rencontre de la 47e Armée du 1er Front Biélorusse, une fois en contacte l'encerclement de Berlin sera effectif.
- La 13e Armée elle marche sur l'Axe Wittenberg / Elbe en couverture du Flanc gauche du 1er Front Ukrainien.
- La 5e A de la Garde après s'être emparée de Finsterwalde marche droit sur l'Elbe ou le 25 Avril 1945 dès 11h du matin les unités de reconnaissance de la 58e Division de fusiller de la Garde appartenant à la 5e A de la Garde du 1er Front Ukrainien firent leur jonction avec les unités RECON de la 69 Division d'Infanterie US appartenant à la 1er Armée Américaine du 12e Groupe D'armées des États-Unis sur l'Elbe à Torgau l'Est rencontrait l'Ouest l'Allemagne nazie était couper en deux.
Entre le Flanc Droit du 1er Front Ukrainien et le Flanc Gauche du 1er Front Biélorusse se trouvait les reste de la 9e Armée Allemande et quelques petites unités provenant de la 4e Panzer Armee celles-ci retraitaient tant bien que mal dans la Spreewalde ( Boucle de la Spree et se concentraient dans la région de Gross-Koris, misse sous pression par les Soviétiques, au Sud par la 3e A de la Garde du 1er Front Ukrainien, au centre par la 33e Armée et au Nord par la 69e Armée ces deux dernière appartenant au 1er Front Biélorusse.
En se Samedi 21 Avril 1945 le 1er Front Ukrainien fût à deux doigts de réaliser un coup de Poker magistral, en effet il s'en fallût de peut pour que Koniev ne capture la totalité de l'état major de l'O.K.W et de l'O.K.H situé dans le vaste complexe souterrain de Zossen à 20 km de Berlin.
Dès le Jeudi 19 Avril en début d'après midi les observateur Allemands signalèrent au Q.G de Zossen l'approche d'une puissante colonne blindée venant du Sud, le général Krebs inquiet de cette avance rapide des Soviétique décide d'y envoyer une reconnaissance motorisée avec un détachement blindé d'escorte que commande le Lieutenant Kränkel qui dispose de 25 Blindés seul bémol il y a 20 Panzer III et 5 Panzer IV pas de quoi s'opposer aux monstres d'acier des forces blindées Soviétiques, quoi qu'il en soit le Lieutenant Kränkel parti dès 15h se 19 Avril il arriva en début de soirée dans le Bourg de Baruth toujours aux mains des Allemand ,ce dernier décide de se positionner à 5km au Nord de Baruth afin d'observer toute éventuelle incursion des chars Russes .
Mais le répit était de courte durée car le Samedi 21 Avril dès 6h du matin le téléphone sonne à Zossen se qui réveille le Capitaine Boldt 2e aide de Camp du général d'Infanterie Krebs, qui prit immédiatement la communication, c'était le Lieutenant Kränkel qui informait l'état major qu'une colonne de chars Soviétiques remontait de la route de Baruth se dirigeant plein Nord droit sur Zossen ils étaient environ une quarantaine composé de JS-2, ISU-152 , ISU-122 et T-34/85 .
Le Lieutenant Kränkel ajoutât qu'il allait donner l'ordre d'attaque et souhaitât bonne chance au Capitaine Boldt puis il raccrochât, sans attendre Boldt allât réveiller Krebs et l'informe de la situation, Krebs comprend immédiatement que Kränkel et ses chars léger n'ont aucune chance face aux blindés Russes, il prend le téléphone et appelle la Chancellerie du Reich ou il informe Hitler de la situation puis demande l'autorisation de replier la totalité de l'état major sur Berlin, mais la réponse de Hitler fût eu NEIN !!! catégorique.
Peut avant la conférence de situation de 11h du général Krebs, les blindés du 5e Corps Mécaniser de la Garde étaient à 10 km de Zossen, la fin pour le personnel et l'état major de Zossen était proche, Koniev allait réaliser un magistral coup de Stratégo, Staline allait en faire un héro de l'Union Soviétique, mais ni le Général Kriokounov commandant le 5e Corps Mécaniser de la Garde, ni Koniev ni Staline ne savait leurs unités si proche du grand état major de la Wehrmacht, soit les blindés Soviétiques progressaient et d'ailleurs le bruit de leurs canons se fait entendre à l'état major Allemand , Krebs fait un rapide calcul et précise que vu le rapprochement du bruit de la canonnade les Russes seront à Zossen dans environs 30 minutes !!! Le message du Lieutenant Kränkel met fin à tout espoirs, l'attaque à échouer plus un seul chars me replie avec les 250 hommes qu'ils me reste vers le Nord les Russes n'ont perdu que 3 T-34/85 bonne chance terminer.
Il n'y avait donc plus rien entre l'état major général de la Wehrmacht et les chars Soviétiques.
Résigner le général Krebs commence la conférence tout en s'attendant à l'arrivé d'une minute à l'autre des unités Soviétiques, ceux-ci ne sont plus qu'à 8km de Zossen, quant soudain les chars et canons automoteur s'arrêtent brusquement et ne peuvent plus avancé, manque de chance tout le 5e Corps Mécaniser vient de tomber en panne sèche, la guigne les barils de réserve embarquer sur les chars sont eux aussi à sec, et pour pouvoir avancer rapidement aucun transport de carburant n'y à été affecter le temps de prévenir l'Armée et d'obtenir le ravitaillement il faudra attendre plus de 2h ..... Une malchance qui sauve la peaux de l'état major de Zossen.
En apprenant le brusque arrêt des Soviétique Le général Krebs fût profondément soulagé, reste maintenant à convaincre le Führer de l'imminence de l'arriver des Russes ici.
Mais une reconnaissance aérienne de la Luftwaffe confirma à la Chancellerie de la proximité des Soviétique de l'état major général de la Wehrmacht, dès 13h le général Burgdorf appelle de la Chancellerie et confirme les ordres de replis de Hitler , l'O.K.H était transférer à la base de la Luftwaffe d'Eiche près de Potsdam , quant à l'O.K.W lui il inaugurait ses nouveaux quartiers à Krampnitz.
Krebs était entièrement soulagé et Koniev venait sans le savoir de manquer le coup de poker de la WW2 .
Ce n'est que vers 18h que les unités Soviétiques purent pénétrés dans les 2 vastes complexes souterrain Maybach I et Maybach II ils n'y rencontrèrent aucune opposition les 5 Réguliers de la Wehrmacht rester en défense des lieux ne tirèrent même pas un seul coups de feu 4 se rendirent immédiatement après l'arriver des Soviétiques , quant au Cinquième les Russes le retrouvent dans la réserve des cuisines dans un état d'ébriété avancé et criant à qui voulait l'entendre que Hitler était Kaputt !!!
Les Soldats et officiers Soviétiques furent fortement impressionner par la grandeur et la profondeur du complexe qui courrait sur plusieurs Hectares et extrêmement bien camoufler construit sur 2 étages pour une profondeur de 30 mètres il comprend 40 pièces qui forment l'ensemble du complexe militaire un des plus vaste au monde, Il comprend deux groupes principaux d'installations : " MAYBACH I " où est logé l'état-major de l'O.K.H. et " MAYBACH II ", à environ 300 mètres plus au Sud, dans la direction de Wunsdorf où se trouve une annexe de l'O.K.W. Les abris, construits en forme de maison, sont dispersés dans la forêt de la MARCHE et si bien dissimulés que le promeneur ne les soupçonne même pas....
Une liaison souterraine la relie au poste 500, le plus grand central téléphonique de l'Allemagne nazie, installé à 30 mètres sous terre. De là partent toutes les communications militaires et les communications civiles les plus importantes qui relient les centraux de la capitale et de ses environs aux pays Européens non encore conquis par l'ennemi. Cette installation fût achevée en Mars 1939, le quartier général s'y était installé pendant la campagne de Pologne et la période qui avait précédé l'offensive à l'Ouest .
Après la capitulation de l'Allemagne nazie les Soviétiques occupèrent le complexe de Zossen à des fin militaire et comme dépôt pour les forces armées de la R.D.A il occupèrent le site de 1953 à 1990 , la fin du communisme signifiât la fin pour le complexe de Zossen qui fût abandonner pendant plus de 10 ans et en 2002 il fut fermer et tous les accès furent murer et combler de terre, depuis 13 ans le complexe vit oublier de tous dernier témoin de la grandeur dévolue du IIIe Reich censé vivre 1.000 ans.
Quelques heures après l'évacuation un officier d'état major de la Chancellerie du Reich téléphone pour prendre état de la situation au Q.G. de Zossen, le téléphone résonnant dans les couloirs de MAYBACH I interpelle un soldat Soviétique qui décrochent , l'officier Allemand demande quel est la situation chez vous? Et le soldat Russe répond tout simplement **** IVAN EST LA ****
Dans Berlin Hitler de très mauvaise humeur pestent contre les bombardement incessant de la ville par l'artillerie de siège Soviétique ( canons de 155mm, 203mm et 600mm ) , il voie la dedans une atteinte personnel montée de toute pièce entre Staline et Joukov , et comme à son habitude une personne doit être coupable de tout cela, c'est le général Koller chef de la luftwaffe qui en fait les frais, Hitler reproche à se dernier l'inactivité flagrante de la Luftwaffe .
Mais en cette année 1945 la Luftwaffe avait pratiquement disparue du ciel la maîtrise archi totale du ciel par les Alliés et les Soviétiques, le manque grave de pièce de rechange le peut d'aérodromes encore intactes et surtout la pénurie de carburant et le manque de pilotes chevronnés, en effet depuis Mars 1943 et le début des raids massifs de l'U.S.A.F. et de la R.A.F. jusqu'à se jour la Luftwaffe à perdu 85% de ses pilotes aguéris .
Quoi qu'il en soit Hitler ordonne à Koller de rétablir immédiatement la situation et dans les 24h il veut une attaque en règle sur les positions de l'artillerie lourde Soviétique, si rien ne se passe au-delà des 24h l'officier responsable de l'attaque ( soit le général Koller ) sera exécuter pour refus des ordres du Führer.....
quant à sa famille elle sera déporter dans un camps de travaille.
Afin de vérifier l'emplacement de l'artillerie Soviétique pour l'attaque de la Luftwaffe Hitler contemple la vaste carte des opération puis soudain il reste figé comme une statue et s'exclame haut et fort :
**** Enfin je le tient il est fini ****
Hitler vient en fait de remarquer que, pour l'attaque sur la capitale, Joukov à fortement étirer ses ligne de communication et ravitaillement , mais chose encore plus intéressante les deux flancs Droit et Gauche du 1er Front Biélorusse sont très fortement dégarnis le gros des armés étant occupés à donner l'assaut dans les faubourgs de la ville il ne reste que quelque troupes de l'arrière presque sans chars pour assuré la couverture des deux flancs Soviétique.
Mais comme à son habitude Hitler ne veux voir que se qu'il veux voir, effectivement es flancs du 1e Front Biélorusse sont extrêmement allongé très dangereusement même, mais que reste t'il aux Allemands pour pouvoir mettre en péril la marche Rouge sur Berlin, rien il n'y à plus aucune grande unités que des fragments de divisions sans carburant mal armés, il n'y à plus de front continu juste ça et là quelques points forts retardataires vite balayer par le raz de marré Soviétique se déversant sur le Reich.
De plus dans le Nord Rokossovski et le 2e Front Biélorusse avait dès le 20 Avril lancer leur puissante et vaste offensive visant tout le Nord de l'Allemagne et balayait tout sur son passage celui-ci assurait du même coup la couverture du flanc droit de Joukov , dans le Sud Koniev et le 1er Front Ukrainien fonçait droit sur l'Elbe et la Mulde le flanc gauche maintenait la pression sur le G.A.Centre et marchait sur Dresde, le centre avançait sur l'Elbe tandis que l'Aile droite investissait les faubourgs Sud et Sud - Ouest de Berlin la 4e A.B.de la Garde Marchait sur Potsdam à la rencontre de la 47e Armée du 1er Front Biélorusse afin de compléter l'encerclement de Berlin.
Lancer une attaque visant à attaquer les flancs du plus puissant Front Soviétique qui maintenait 4 armées en réserve en arrière du Front , avec deux puissante offensives Soviétique en cours dans le Nord et le Sud est tout bonnement suicidaire et provoquerait une crise cardiaque à tout enseignant militaire en tactique et stratégie .... Puis que restait il à l'Allemagne comme unité capable d'effectuer un vaste mouvement tournant de 80km puis de couper les bases d'un front Soviétique encercler l'équivalent de 160 Divisions avec 3.100 chars et canons automoteur ..... il ne restait plus de tel unités depuis la bataille du Dniepr .... Mais dans la tête de Hitler l'Allemagne possédait toujours ses grandes et puissantes unités mobiles d'autrefois et donc rien n'était impossible de plus la victoire finale était proche, nous avons assez reculer et fait croire aux Russes que nous étions fini maintenant qu'ils sont tombés dans le piège c'est le moment de la grande offensive qui va décider du sort de la guerre jamais la victoire n'a été si proche s'est maintenant le grand tournant Staline n'aura plus qu'à contempler l'immense désastre qui se profile à l'horizon.
C'est le 3e SS Armee Korps commander par l'Obergruppenfürer Felix Seiner qui fût désigner pour accomplir la man½uvre.
Déployé au Nord - Ouest d'Eberswalde le 3e SS Armee Korps était bien mal lotis et n'avait plus les effectifs ni le matériel d'un Corps d'Armée Allemand de 1941, jadis 11e SS Armee celle-ci avait été quasiment anéantie dans les durs et violents combats de Poméranie, puis lors des violents combats pour conserver la tête de pont sur l'Oder dans les faubourgs Sud-Est de Stettin, elle avait perdu 75% de sa force de combat , après la réorganisation du Front durant le moi de Mars et début Avril la 11e SS Armee fût placer en réserve du G.A.Vistule et déployer dans la région d'Eberswalde afin d'y être totalement réorganisée et rééquipée.
Mais les évènements de début Avril firent que le général Heinrici commandant en chef du G.A.Vistule y retira à contre c½ur les 11e et 12e SS Armee Korps et le 11e SS Panzer Korps , afin de les affecter à la 9e Armée sur l'Oder ou se massaient 1.500.000 soldats Soviétiques, 3.100 chars et canons automoteur appuyé par 41.000 canons et mortiers, il ne fait plus aucun doute que la 9e Armée Allemande est en plein dans l'axe d'effort principal du 1er Front Biélorusse diriger droit sur Berlin.
Il ne lais donc que le 3e SS Armee Korps fortement réduit avec 3 Bataillons de SS Panzer Grenadier, les vestiges des Divisions de volontaires SS Wallonie, Nétherlands et Vlanderen , soutenus pars 32 chars Panther , 125 canons et mortiers , pas d'artillerie lourde et 78 canon P.A.K. de 88mm, soit 32.500 hommes
de plus il y avait pénurie grave en munition et surtout en carburant , le ravitaillement n'arrivait plus depuis 15 jours les hommes avaient le ventre vide et un manque de sommeil grave, le moral n'était pas au beau fixe la fin était proche et beaucoup le savaient et ne pensaient plus qu'à tenter de sauver leurs propre vie, pour eux le Reich n'avait pus aucune importance le principal était de se battre pour échapper aux goulags Russes et atteindre les lignes Américaines ou Britanniques sains et sauf.
Hitler mis au courant de la situation ne voulait rien entendre comme d'habitude et rétorqua que le 3e SS Armee Korps serait renforcé par le 101e Armee Korps situé au Nord de Berlin .... Mais le 101e Armee Korps n'était plus un Corps d'Armée mais un amalgame d'unités en pleine retraite qui ça et là crées des bouchons aux ponts et carrefours afin de retarder les chars Soviétiques lancés à leur poursuite il n'était plus question pour ses troupes miséreuses d'être coordonné dans une unité combattante leurs seul objectif était de fuir vers l'Ouest et les lignes Anglo-Américaines.
Hitler pensât même un moment à engager la garde personnelle de Göring forte de 2.500 hommes cette unité d'élite était stationné à côté du domaine de la famille Göring le somptueux châteaux de Karinhall , mais depuis le 20 Avril Le Reichmarshall de l'Air avait fait sauter le château alors même que le 2e Front Biélorusse déclenchait sa puissante attaque sur l'Allemagne du Nord , le bruit de la canonnade se fesait entendre dans le lointain alors que les hommes de la garde personnel avaient déjà quitté les lieux escortant un long convois de camion contenant des ½uvres d'art inestimable comprenant des tableaux de grands maître de la peinture voler dans tous les grand musés d'Europe de l'Ouest , des bijoux et pierres précieuses, de l'or en lingots provenant du pillage des riches familles Juives et surtout 10.000 bouteilles de vin rouge parmi les plus grands millésimes de France , le tout prenait la direction des Alpes Bavaroises et du Bergohf dans l'Obersalzberg, près de Berchtesgaden.
Finalement Hitler décréta alors que tout hommes âgés de 14 à 65 et capable de porter une arme ainsi que tous soldats de la Wehrmacht, Keigsmarine, Luftwaffe et de la Waffen-SS devaient tous êtres jetés dans la bataille finale , qui sera la grandiose bataille ou la puissance Germanique triomphera de la menace du Judéo-Bolchevisme , et il ajoutât que tout officiers quelconques qui tenteraient d'y mettre un obstacle devait formellement être éxécutés sans jugements aucun dans les 5 heures et leurs familles déportés dans un camps de travail .
C'est le général Krebs qui de la Chancellerie du Reich téléphone à Steiner et lui communique les ordre du Führer :
**** Attaquer à partir d'Eberswalde en direction de Berlin ou vous devrez couper les arrières du 1er Front Biélorusse puis atteindre les faubourgs Sud - Est de la ville et y encercler la totalité des armée Soviétiques aventurées dans les faubourgs de la ville ****
Après avoir raccroché l'Obergruppenführer Steiner est totalement sidérer , attaquer rien de moins que le 1er Front Biélorusse avec ses 160 Divisions 3.100 chars et canons automoteur soutenu par 41.000 canons et mortiers et 8.000 avions , c'est insensée ......Avec de tels effectifs je ne pourrait pas tenir plus d'une heure face à une puissante attaque d'une armée Soviétique et là on m'ordonne de m'attaquer à tout un Front et en prime le plus puissant du dispositif d'attaque Soviétique , il doit y avoir une erreur dans l'ordre reçu.
Steiner décida de rappeler la Chancellerie du Reich afin d'obtenir des informations sur c'est ordre suicidaire, c'est le général Krebs qui pris la communication , Steiner lui demande une clarification de la situation car réaliser un tel ordre ne peut se faire sans une conférence de situation et des forces ennemies en présence et précise qu'il n'à pas les forces ni les moyens suffisants pour s'attaquer à tout un Front Soviétique, mais Krebs ne peut informer Steiner de la moindre situation ni de l'abération totale du plan de Hitler car se dernier se trouve juste à ses côtés sur se fait Krebs réaffirma l'ordre de Hitler d'attaquer Joukov , puis il conclut que si l'ordre d'attaque n'était pas communiqué dans l'immédiat Steiner ainsi que tous les officier du Corps d'Armée seraient condamnés à mort et leurs familles enfermer dans des camps de travaux forcés.
Vert de rage Steiner raccroche violemment le Téléphone et se rend immédiatement au P.C. du Général Heinrici et luis fait part des faits, outré profondément de se qu'il venait d'entendre Heinrici se mis en rapport immédiat avec la Chancellerie du Reich afin de vivement contester c'est ordre suicidaire, mais Krebs fit la sourd d'oreille et ajoute qu'il est trop tard car Hitler viens juste de signer l'ordre d'attaque et que celui-ci est maintenant trop occuper pour s'entretenir avec Heinrici et raccroche le téléphone .....
Méduser par l'ordre insensé venant de la Chancellerie du Reich le général Heinrici eut une discutions avec l'Obergruppenführer Steiner lui conseillant le silence radio avec la Chancellerie et de rester sur ses positions cette attaque n'aurait pas fait 10 km que la totalité de Corps d'Armée aurais été totalement anéantis tel la puissance Soviétique autour de Berlin était colossale .
Steiner et sont état major décidèrent de passer outre des ordres de Hitler , non seulement Berlin était sur le point d'être encerclé, l'offensive du Maréchal Rokossovski avançait tel une tornade et menaçait maintenant les unités de Steiner qui devra se replier dès le 23 Avril en fin de matinée face aux pointes blindés Soviétiques de plus en plus agressives les survivants du groupe Steiner se rendirent Aux Britannique en Mai 1945 soit environs 25.000 hommes .
Berlin était donc quasiment isolé et les hurlements lugubres des Corbeaux résonnaient dans les ruines de la capitale du Reich désormais le tombeaux du National Socialisme , au Nord Rokossovski dévastait tout dans une offensive fulgurante et marchai sur l'Elbe, au Sud de Berlin Koniev lui aussi marchai sur l'Elbe et la Mulde Dresde était à moins de 40 km de marche , à l'Ouest les Armées alliés étaient déjà déployés le long de l'Elbe et de la Mulde et y attendaient l'Armée Rouge conformément au traité de Yalta .
Le G.A.Centre était enfermé en Tchécoslovaquie en pleine insurrection et pressé du Nord Au Sud par les force Soviétique , les forces Alliés notamment la 3e Armée U.S. du Bouillant général Patton Jr était sur le point d'entré en Tchécoslovaquie par l'Ouest.
Le G.A. Autriche était lui enfermé dans les Alpes Autrichienne il ne restait plus rien après les terribles combats sur le Lac Balaton à Vienne et dans le centre de l'Autriche la 6e Panzer SS Armee n'avait plus de chars ni de canons d'assaut les quelques blindés qui lui restait était rendu immobile en panne totale de carburant et seul quelques obus restait en cas d'une poussé soviétique jusque Linz le reste des autres Armées étaient dispersés du Nord au Sud de l'Autriche elles aussi en manque de tout tous attendaient en contenant quelques attaques blindés Soviétique l'arrivé des troupes Américaines remontant du Nord de l'Italie en direction de Linz .
Berlin ne serais donc jamais secourus plus aucunes forces Allemandes n'est capable de lancer une attaque d'envergure sérieuse pour dégager Berlin, les grandes unités du IIIe Reich avaient disparues dans l' immensité des Steppes , des forêts , des marais et des montagnes de l'infini Russie capable d'engloutir tout un continent à elle seule.
Il n'y avait plus de Luftwaffe celle-ci avait définitivement disparue du ciel Allemand maintenant aux mains des 25.000 avions des forces Alliés et aux 15.000 avions des forces Soviétiques écrasant d'un feu d'enfer tous mouvement ou toutes positions allemandes .
Les grandes unités Blindés étaient des souvenirs d'autrefois il ne restait plus que quelques unités ci et là engagé dans les dernier combats du Reich le reste et abandonné en panne sèche ou en manque de pièces de rechanges sur les bords des routes les autres ne sont plus que des carcasses fumantes victimes de la chasse alliés, des pièce de P.A.K. ou des chasseurs de chars .
Dans Berlin l'Agonie commence pour les 11 dernier jours du nazisme les 9 dernier pour Hitler .
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