






Mais sur le plan militaire il jouait un rôle majeur les forces allemandes maintenues dans cette tête de pont interdisait littéralement aux Soviétiques l'accès directe à la Crimée ou était cantonnée la 17e Armée allemande, une tentative de passage entre la boucle du Dniepr et la mer d'Azov serait suicidaire, de plus la tête de pont de Zaporoïé menaçait le flanc gauche des Soviétiques qui attaquaient sur Dniepropetrovsk, la défense renforcée et l'obstination de Hitler étaient donc amplement justifiée.
Les Allemands maintenaient dans la têtes de pont le 40e Corps Blindés ( Général Henrici ), le 17e Corps d'Armée ( Général Kreysing ), les 125e D.I, la 16e D.I.Motorisée, la 123e D.I, la 333e D.I, la 294e D.I, et la 335e D.I, forces considérables face aux quelles la STAVKA y maintenait 3 armées la 12e Armée, la 8e Armée de la Garde ( Général Tchouikov ) et la 3e Armée Soviétiques.
2 Corps Allemands dans une tête de pont de 40 km de Front et 20 km de profondeur, soit 6 divisions face à 3 armées Soviétiques le rapport de force étaient de 10 contre 1, mais une première tentative Soviétique en septembre se soldat par un hécatombe qui coûtas aux Russes 358 chars et 35.680 morts et 75.800 blessés.
Mais du côté Allemand le bilan aussi était lourd 154 chars, 12.500 morts, 26.400 blessés, et surtout les Soviétiques n'allaient pas en restés là et allaient en tirés les erreurs pour la prochaine offensive en force.
Début octobre les munitions et les pièces de rechanges arrivèrent au compte goûtes si bien que tout manquant au groupe d'armée Henrici.
Se fut dans c'est conditions que le 10 octobre à 8h du matin l'artillerie Soviétique ouvrit le feu sur tout le secteur du Front , le Général Malinovski jeta dans la bataille tous son Corps d'Armée les 3e Armée, 8e Armée de la Garde et la 12e Armée, pour la première fois su l'Ostfront Malinovski mis sur pied des Divisions Autonomes d'Artilleries, qui intervenaient aux point faibles ou critiques du Front forçant ainsi la décision de la bataille, l'Armée Rouge mis sur pieds dans chaque groupements tactiques et dans chaque armées se genre de Divisions hautement efficaces.
L'assaut fut terrible les Soviétiques percèrent d'un seul coup les lignes allemandes et fonçaient droit sur Novo-Alexandrovk, ou là ils furent attaqué par le 509e bataillon de chars lourds composé de Panzer VI Tigre I et des redoutables Ferdinands excellent dans ça version de chasse, les Soviétiques furent stoppés net et laissèrent 78 chars en flammes sur le champs de bataille, les Soviétiques durent marqués un temps d'arrêt.
Le 13 octobre la 8e Armée de la Garde suivie des 3e et 12e Armées pulvérisèrent les défenses allemandes et creusèrent une énorme brèche dans le dispositif Hitlérien, les unités blindés de reconnaissance s'y engouffrèrent et s'enfonçaient de 5 km sur les arrières de 40e C.B Allemand, c'est le 509e BTL de chars lourds qui stoppa encore une fois la ruée Soviétique et les repoussa jusqu'à leurs points de départs leur détruisant 25 nouveaux T-34/85.
Mais les Allemands savaient très bien que les Soviétiques n'en resteraient pas là et que la prochaine attaque sera encore plus puissante et violente, il fallait donc faire sauté le barrage et le pont de chemin de fer le Général Henrici pour couvrir les unités de sapeur chargés de détruire l'ouvrage avait constitué tout une séries de point extrêmement fortifiés devant le barrage et le pont de chemin de fer, pour réalisé une telle préparation il fallait 24h pendant lesquelles il fallait retenir à tous prix les armées Soviétiques qui poussaient en direction de Zaporoïé, de plus depuis 7h du matin l'artillerie Soviétique à longue portée concentraient ses tirs sur le barrage et le pont du chemin de fer.
Mais le Général Henrici ne pouvait prendre seul la décision de faire sauter l'ouvrage car étant un point de valeur hautement stratégique seul l'OKH donc Hitler se réservait le droit d'ordonner la destruction ou non de l'ouvrage de Zaporoïé, pendant presque toute la matinée et le début de l'après midi Henrici tenta de joindre Hitler, mais celui-ci était au Repaire du Loup et dormais profondément et personnes de l'état-major n'eut le courage de le réveiller de peur de subir les foudres dévastatrices d'un Führer réveiller en fanfare.
Finalement et après avoir averti le Général von Mackensen, Henrici pris la décision de faire sauter l'ouvrage, décision sage car le 14 octobre les unités Soviétiques renforcées de 2 Corps Blindés et de 5 Divisions d'infanterie passent à l'attaque et pulvérise la ligne mince de défense allemande pénètres de 25 km dans le dispositif Allemand et se dirigent à pleine vitesse sur l'Axe du Lac d'Amont droit sur Zaporoïé, la retraite du groupement Henrici et fortement menacé, c'est la 16e Panzergrenadiere Division du Conte Schwerin qui intervenant rapidement bloque l'avance des Soviétiques et repoussent tous leurs assauts jusque 23h10 puis se replie vers l'arrière en traversant le pont du chemin de fer pour rejoindre le gros du groupement Allemand replié sur la rive Occidentale du Dniepr, le 14 octobre à minuit l'ordre de faire sauter l'ouvrage est donné, les sapeurs du génie contemple la formidable explosion qui secoue le colosse de 760 m de long sur 215 m de hauteur mais ne le détruit pas seules quelques fissures parcourent la structure du barrage, mais assez large pour que des millions de mettre cube d'eau bouillonnante déferlent sur la vallée bloquant ainsi l'avance des unités Soviétiques pour un petit moment suffisant pour organiser la défense de la rive droite du Dniepr.
Mai malgré une victoire défensive allemande et le retrait réussis du groupe Henrici, il n'en reste pas moins qu'il s'agit pour la STAVKA d'une victoire stratégique majeure car en réduisant la tête de pont de Zaporoïé les Soviétiques avaient maintenant les mains libres pour faire pression sur la 6e Armée allemande afin de l'anéantir et ainsi coupé du continent l'accès de la Crimée ou sont massés 350.000 hommes 25.680 canons et mortiers et 1.560 blindés, de la 17e Armée allemande force considérable qui depuis la retraite du Caucase et stationnée en Crimée et contrainte à l'inaction totale alors que sur le Front Sud et Centre la situation est de plus en plus critique pour les Allemands, mais Hitler croie toujours en une reprise de l'offensive sur les installations pétrolières Caucasienne, et de se fait bloque toute la puissance d'une armée qui utilisé sur les points de poussé Soviétiques rétablirait certainement la situation sur le front intérieur germano-soviétique, mais toute questions sur l'intervention ne fusse que d'un simple bataillon de la 17e Armée pour renforcé tel ou tel secteur du Front se brisait sur le refus catégorique de Hitler qui la plus part du temps entrait en colère noire une fois le sujet d'évacuation de la 17e Armée mis sur la table des discutions importantes concernant l'Ostfront, le sort était jeter la 17e Armée allemande mourra en Crimée comme la 6e Armée mourut à Stalingrad pour le même entêtement d'un homme ayant perdu tout contrôle sur la situation militaire de l'Allemagne nazie sur l'Ostfront.
TOTENKOPF984, Posté le dimanche 23 mars 2014 16:52
De victoire en défaites les Fritz perdent la Russie morceaux par morceaux ainsi que leur armée.